Les discussions sur le projet de loi anti-terrorisme

Le terrorisme est un problème qui doit être géré avec précaution, et la prudence est de mise pour les actions portées sur ce plan. La question de la manière dont on doit gérer les terroristes dont les peines de prison fait actuellement l’objet de débat, notamment vis-à-vis d’un projet de loi portant sur cela.

Le problème particulier des terroristes

Les sentences de réclusions criminelles sont des moyens pour éviter que les personnes ayant nuit à la société ne soient plus en mesure de le faire. La durée de leur réclusion a pour but de les réprimander, mais aussi d’éviter qu’ils ne recommencent les délits une fois qu’ils sortent. Le terrorisme pose un souci sur ce plan, dans la mesure où les gens qui se lancent dans de telles activités sont passées par des lavages intenses de cerveaux.

Elles sont donc conditionnées pour être fidèles à leurs causes, quitte à faire passer le bien-être de celle-ci au leur. En raison de cela, il n’est pas risqué de simplement les laisser sortir de prison une fois que leur peine ait été écoulée. Le principe de réprimande pour éviter la reprise des délits par peur de punitions peut ne pas fonctionner pour ces personnes. Aussi, il est important d’éviter de prendre des mesures à la hâte.

Les actions à faire pour les terroristes sortant de prison

Beaucoup s’accordent à dire qu’il n’est pas prudent de simplement laisser sortir une personne coupable de terrorisme. Pour plus d’informations sur des sujets similaires, ce site est un des lieux où vous pouvez vous rendre. Ainsi, quand un tel individu a écopé de sa peine, plutôt que de le laisser faire une sortie « sèche », il est plus prudent de faire son suivi, pendant une durée déterminée. Parmi les risques qu’on encourt sans cela, il y a le fait qu’il reprenne contact avec son organisation.

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Une des manières d’éviter qu’il ne puisse faire cela est de faire sa surveillance en ligne, soit prendre des contacts suspects qu’il peut avoir sur internet. Outre cela, il faut également prendre des mesures pour l’encadrer dans son retour à la vie normale. Au lieu de le laisser libre à lui-même, il est préférable de lui rendre des visites quotidiennes pour voir son état psychologique.

Des mesures pour les 163 libérés d’ici 2024

Un nombre important de personnes incarcérées pour terrorisme vont bientôt sortir de derrière les barreaux d’ici au moins 3 ans. Parmi les actions qui peuvent être portées sur ceux-ci, on peut évoquer le projet Micas, soit Mesures Individuelles de Contrôle Administratif et Surveillance, pendant une durée de 2 ans. Cela implique les suivants :

  • Monitoring de leurs activités en ligne
  • Suivi psychologique en continu
  • ●        Interdiction d’approcher les lieux de cultes

Ensuite, des discussions sont menées sur les façons les plus convenables de faire la réinsertion des ex-terroristes dans la société. La radicalisation est le principal souci, et celui-ci peut être difficile à détecter. Tout cela rend essentiel que les mesures prises pour assurer un bon encadrement de ces individus puissent bien être appliquées.

Sophie Razoul

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